Ils espéraient rompre le rythme des tourments qui martèle l’esprit comme des coups à la porte d’un ciel sans étoile.
Ils croyaient supporter les rafales glaciales infiltrant leur corps dressé aux espoirs enchanteurs.
Ils pensaient que les moments de fêtes s’improvisent à la fenêtre des survivances intactes, au seuil des innocences où les mains pleines s’ouvrent aux promesses et à l’ivresse féconde.
Ils espéraient enfanter des saisons aux couleurs pastelles sur un drap blanc lavé des chagrins et des regrets...
Commentaires
Un drap lavé des chagrins et des regrets.