Perdre la mémoire dans les traces des aiguilles sur le cadran du temps.
Trouver la sérénité dans les heures à décliner le temps, dans les hors du temps des ailleurs construits au fil des mots, au fil des regards scrutant les replis de l'oubli.
Projeter les images des scénarios d'existence avec détachement, percer les énigmes confuses que pour mieux apprécier celles à venir empreintes de luminosité.
Acquérir l'équilibre et défier le vide pour l'apprivoiser tel un funambule qui ne craint plus la chute et qui libère l'esprit encombré, des béances du passé.
Rêver et s'enivrer du temps quand il est encore temps.