Tu ne leur diras pas
la dérive des jours de glace,
la tourmente des temps sans grâce.
Tu ne leur diras pas quand le cœur sursaute au tapage des barbaries qui s’écrivent au couteau
Pour que la tête à l’envers ils trouvent la lumière
et entendent les murmures du silence.
Commentaires
Ainsi fredonnent les sirènes averties des fatalités de la mer, l'éternelle ancienne antienne, aux mousses ivres encore au port.
En effet ne pas dire c'est ainsi que chacun apprend, la naïveté doit être avant que....
on serait tenté de tirer le rideau des inachevés "avant que......
"Les murmures du silences"
cette grâce qui frôle les coeurs
et les pétris de douceur
Beau dimanche
Vos silences en mémoire sont autant de murmures tendus et persistants sur les fils de la toile dont on s'abreuve....
Bien à vous Maria
Si peut-être leur tricoter une petite laine ...
??? une réponse à quel commentaire?
Yaris une fée tricoteuse??
Sourire.
Nous sommes tous les témoins passifs, et donc les complices,
d'une barbarie sans cesse renouvelée.
Ce comportement fait que selon les événements, le lieu, le
moment, le hasard, nous sommes soit bourreaux soit
victimes, étant précisé et prouvé par ce que le monde nous montre que les victimes d'aujourd'hui seront les bourreaux de
demain et inversement.
Nul n'est innocent.C'est en cela que la vie est désespérante et donc sans espoir.
C'est pourquoi il faut vivre aussi insouciant que possible avant
d'être massacré ou massacreur.
Renaud qui croit tout de même en une certaine lumière.
Amitié.
Fredonner n'est pas tuer.
Murmurer les jours de glace pour rester éveiller.
Entendre le silence qui rythme les coups de grâce des coeurs à l'abri des humanités....
A ceux qui cherchent la lumière...Une petite laine pour le froid. Bon je ne parlerai pas de l'hiver nucléaire qui risque bien un jour !
Parfois,
Les arbres oublient leurs racines
Et se frottent les cheveux au-dessus des nuages.
C'est,
une belle alternative au suivi inéluctable des saisons
une belle image effleurée à la pointe de la plume
un bel espoir à l'envol de l'oiseau sur la colline aux cigales.
Bien à vous B.
Renaud qui croit tout de même en une certaine lumière.
Amitié
Il faut bien croire en une certaine lumière....