Il ya des blessures qui se disent, des blessures qui s'écrivent et d'autres qui se taisent que pour mieux couvrir d'un linceul, un corps en sommeil.
Il y a des mots qui se jettent, sans effort, dans un geste dérisoire que la parole envie, à la main qui les glisse, dans une connivence effrontée.
Il y a des signes de mots, des signes de main qui accompagnent des émotions dans le regard effleuré.
Il y a des attentes et il y a des fuites qui épousent les peurs et les faiblesses, comme autant d'inaccessibles, d'un absolu à jamais corrompu.
Il y a des clartés et des ombres qui s'unissent, petites pierres sur des chemins de vie, rendus impraticables.
Il y a le temps qui s'écoule sur des histoires de maux dont les acteurs sans rôle trébuchent sur leur perte de mémoire pour des intrigues à jamais résolues.
Il y a toi, il y a moi et l'absence dévoilée
Commentaires
Et nos regards comme en défi aux reniements de l'ombre...
merci bifane pour tes mots et ton passage.