Dites lui que je pars,
la peau meurtrie par tant de guerres
et d’impuissance.
Dites-lui que l’instant chagrin s’est enfin perdu
dans les ombres du temps passé
Dites-lui que le vent a refoulé les heures d’enfer
Et que la tempête crache les messages d’adieu.
Dites-lui qu’on ne se guérit pas
Sur les restes des défaites
Dites-lui qu’elle est venue à bout
Des désastres affutés