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tir d'elle

  • Indécence

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    Indécence.  Un des sens pense-telle. Un de ses sens, sens aux mots, mauvais sens qu’elle a pris se fourvoyant en  virtuelle  pour un voile protecteur à l’indécence. Au sens décalé dans une communication détournée.

    Les mots justes lui a-t-on dit ? En toute équité dans le bon sens. Un sens qu’elle a pris  pourtant malgré elle,  pour la faire trébucher.

    Un des sens  pris en toute innocence qui a froissé ses ailes, son elle dans des elles pour un envol impossible, forcé, avec son impuissance déclarée à la résistance.

     Duras qui aurait dû l’éclairer  dans son « détruire dit-elle » dans le sens des mots offerts dans l’absence  pour un décor vide de sens, un temps. Son temps dans un autre lieu, autre décor sans violence et  qui a pris le sens vécu dans le présent pour tous les maux retenus, pour des paroles étouffées par des mots glissés, lien sublimé dans une construction illusoire.

     Elle a tué en elle sa vertu, son toi. Détruit son toit que pour mieux tuer son toi, son nid par tant de reniements que de fausses paroles,  partant de fondements du vide. Vide à combler. Vider en partant. Un oiseau rescapé privé de ses ailes rognées.

    Rancune malgré l’oubli. Oubli, attaché sans oublier, ce qu’il a généré : un attachement aux maux déferlant en toute indécence dans le parfait  sens qu’elle en a donné dans la destruction opérée.

    Elle lui en veut, tant, de cette perte de temps. Perte et destruction où seuls les mots défunts de Duras graveront sa mémoire. Elle ose encore y croire, son toi retrouvé.