Ils oseront encore, reprenant leur souffle, ils attendront le jour suivant de l’an neuf l’âme embrouillée, les lacets noués au silence puisqu’ils n’ont rien à perdre, tout à rêver, tout à étreindre la ferveur à la fenêtre, les impossibles au balcon.
Ils oseront encore frôler le vent qui les emportera sur les rives des à venir ailes déployées aux oublis, résistances aux tourmentes, loin des cacophonies destructrices.