Maria D
Il s’en est allé
dans les gestes répétés,
dans le poids des mots retenus
dans le vol des années pressées …...envolées.
Il est parti
dans de faux oublis telle une flèche fouettant le temps
comme une lame acérée s’enfonçant dans l’instant
de lassitude.
Il s’est ployé
sous les paroles et les serments pathétiques
à l’éclat des faiblesses
aux promesses célébrant au gré des jours
les tombeaux du destin
Il s’épuise des excuses répétées
Pour ne pas pleurer
Pour ne pas hurler