Apprivoiser le temps s’étaient-ils dit sans crainte et sans remord et s’endormir au creux de la vague qui les emportera.
Ne pas craindre les frontières et les terres inconnues. Se coucher et se laisser bercer par le chant du vent qui fait courber les herbes folles des blessures aux couleurs délavées.
Construire, pierre par pierre un château de cristal où se propage l’insolente lumière des innocences et vivre les jours sucrés pour s’émerveiller encore.
Recommencer comme une première fois sans impatience ni essoufflement à se frayer le chemin des lendemains réconciliés.
Commentaires
recommencer poussé par l'espérance renouvelée , ne retenir que l'élan spontané naît de la rencontre... fugace.