Ils sont restés flottants, la pluie dehors, les pleurs dedans.
Mais où vont-ils, ce grand vide à leurs pieds, cette absence profonde où se creusent autant de jamais que de pourquoi et qui les accompagnent dans une course folle aux éclats d’existence.
Quelle est cette soif à conquérir le temps à esquisser de nouveaux départs, quelle est cette peur aux imprévisibles combats ?
Ils vont apprendre leur a-t-on dit.
Apprendre que le vent fait éclore les inspirations des mendiants de douceurs, apprendre que les architectes d’espérances pourront un jour dessiner un monde d’aplomb ?
Commentaires
Il flotte un air poétique qui donne à réfléchir.
De ces restés flottants parmi les plus flottants certains pourtant accosteront-feront souche et s'en étonneront.
Merci à vous deux pour votre fidèle passage.Bien à vous et beaux jours nouveaux.