Ne regarde pas l’heure impassible et effrayante dont l’aiguille se plante au cœur des blessures dévoilant les cicatrices sur la cible des souvenirs comme autant de points de suspension sur une ligne imaginaire.
N’écoute pas les rappels sur le cadran qui sont autant de trop tard, chuchotés sans vergogne quand l’oubli tente sa revanche en s’accrochant à la mémoire du silence.
Commentaires
Va, file ! Et ne te retourne pas.
Derrière, c’est déjà incrusté à l’horizon.
Ne baisse pas les yeux, dans ton sang sont les adieux.
"Ne baisse pas les yeux, dans ton sang sont les adieux" dans ton coeur les larmes s'assèchent au fil du temps.
Bien à vous B.Merci pour vos mots révélant l'écho entendu.