Et le corps s’immobilise sur un quai désert où s’éloigne une silhouette aux pas métalliques au regard fixé sur le cadran blanchi d’illusions, perles de larmes et d’étoiles ruisselantes
Et le corps se fige pour se revêtir d’oripeaux éphémères à l’ombre des espérances, au pied du mur que la main effrite dans un geste dérisoire pour arrêter le temps.