Il suffit pas de dire
Il suffit pas d’écrire
Pour réinventer les pas
Sur les chemins d’espoirs
Pour des aveux froissés
Au fond des poches trouées
Il suffit pas d’attendre
Les sourires épousés
Pour revivre l’histoire
De tes mots décharnés
Il suffit pas d’aimer
Pour arrêter le temps
Des souvenirs anciens
Pour déchirer la page
Sous les paupières closes
Qui masquent les tourments
Commentaires
Une flèche tirée bien droite, que ce poème, Virtuelle, vers ce qui nous touche au plus tendre... Tout ce qu'on voudrait et qui ne peut advenir. Suffit pas d'aimer, non, aimer est si simple...
Je vous souhaite peu de tourments et beaucoup de joie, et je vous embrasse.
Merci Sophie pour vos souhaits et sans tourment je glisse entre vos lignes sérénité, apaisement et inspiration créatrice.
Bien à vous
S'il s'agit d'une flèche, alors porte-t-elle le prénom de ses aveux.
Bien à toi.
Les aveux sont bien de "virtuelle" dans l'invocation, l'évocation ciblées au sens de Deleuze.
D'où votre clin d'oeil parfois à Virtu.
Bien à vous B
S'il suffisait qu'on s'aime (sème?) dit la chanson...l'amour ne suffit que lorsqu'il est réciproque, dans le cas contraire il s'épuise, perd toute force, et devient inutile.
Bien à vous, Dé