…de dire le silence contrarié, les audaces collées à la peau, grains de sable , graines de lettres semées par des naufragés de passage qui s’accrochent aux lignes comme ultime absolu aux souffles de vie dans un jeu de lettres à décacheter.
C’est un arrêt provisoire aux envols interrompus de cet albatros sorti du désespoir d’un poète
Le mot étouffé par cet amoncellement des batailles, des combats d’amazones vaincues
L’interrogation qui se dessine sur tes lèvres durcies.
Le vide d’une inspiration morbide aux ultimes gravés.
La raideur des certitudes, la course aveugle pour se trouver du talent.
Quatre lettres que la main dispose pour un éphémère au gré des énigmes.
Elle repartira le sourire au coeur.
Commentaires
Je découvre tes écrits et je les trouve un degré au-dessus de ce que je peux lire habituellement.
C'est un régal pour moi !
Merci à double titre pour le divin et le paradoxe "véhiculant" de si gentils propos (sourire)
Bienvenue sur cet espace ouvert à de tels commentaires qui oeuvrent à la poursuite des mots offerts en partage.
Bien à vous
Mon commentaire s'en est allé rejoindre une niche cachée d'internet.
Je recommence donc ma grimpette !
Un brin brin de jalousie, de plaisir, de surprise ; tout cela mêlé à une forte envie de copier ! hihihihi !
Chut, faut rien dire, je ne fais que passer en tout incognito et surtout ne pas dire que de temps à autre je fais l'apologie d'une de tes élections sur la blogosphère !
merci
Qu'aurais-je à dire à ce Chut posé en énigme?
Pas si incognito que cela!!Quant à copier je ne revendiquerai aucun droit d'auteur surtout si cela provoque vos éclats de rire....