Y-a-t-il pire que l’indifférence ? (cf l’espace « chez Sophie)
Sur le cadran du temps, elle a inscrit les mots se substituant à ce qu’elle a pleuré sur la peau épaissie des naufrages comme un signe de main tendue dans l’indifférence où le bavardage du monde renie le silence des débordements cyniques à l’existence.
Les rencontres sur des lignes encrées visionnent des histoires masquées aux trop vives solitudes, foudroyées.
Elle a frissonné à partager la caresse sur le corps de l’apaisement.
Elle s’est accrochée à la peau de l’éveil du bout de la plume qui jette avec décence les violences tendues à la corde des ultimes renoncements.
Elle a pleuré quelques lettres à la face du souvenir empreint d’humanité pour ne pas oublier le regard de ses compagnons de naufrage, compagnons de voyage aujourd'hui disparus.
à E, G, K et ...
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http://www.youtube.com/watch?v=TXD_Ub_b9pE