Tout a commencé dans le bruissement des mots, dans un rappel au temps qui ride ta mémoire à coucher dans l’ombre, le souffle des adieux, ravivant la lumière des connivences masquées. Le verbe s’assombrit d’une lassitude discrète à figer ton regard, à retenir la voix qui se moque du silence sur la corde vocale suspendue à tes lèvres. Le corps s’affaiblit d’un épilogue qui court dans l’indécente lumière où tes pas qui te précèdent abandonnent le chemin des promesses tendues aux jadis ombrageux qui cognent aux tempes des oublis.