Tout a commencé dans le bruissement des mots, dans un rappel au temps qui ride ta mémoire à coucher dans l’ombre, le souffle des adieux, ravivant la lumière des connivences masquées. Le verbe s’assombrit d’une lassitude discrète à figer ton regard, à retenir la voix qui se moque du silence sur la corde vocale suspendue à tes lèvres. Le corps s’affaiblit d’un épilogue qui court dans l’indécente lumière où tes pas qui te précèdent abandonnent le chemin des promesses tendues aux jadis ombrageux qui cognent aux tempes des oublis.
Commentaires
Tout est avatar dont s'écarte d'instinct le pas pur pour ce qui a commencé avant le ventre des mères.
Une interprétation possible
Indécente est la lumière... oui, dans ce qu'elle dévoile dans ce qu'elle éclaire ou parfois brûle...outrageuse, scandaleuse ... pourrait-on la passer au tamis pour n'en retenir que la douceur ?...
...le tamis de la mèmoire emprunté au temps?
Merci de votre regard.
Un des sens possible...)
...Merci retenu Virtuelle! du bout de mes lèvres avares mais du fond de mon cœur!
...C'est l'essentiel.
L'ombrageuse bruissante (sourire) aux éclats de mots filtrés des mercis retenus.
Merci.
A quand un espace personnel sur la blogosphère?
Expérience tentée; mon tempo n'y a pas résisté. Basta! Mon espace personnel décidément est ailleurs.
A quand votre visite?
Dommage! vous êtes la bienvenue ici...
Ici l'écriture bienvenue porte comme de force l'écho des profondeurs aux oreilles abasourdies...Votre écriture!