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Tel est pris celui qui croyait prendre

partition2.jpgTes mots cristallisent ses nébuleuses sous la plume de tes inspirations, preuve qu'ils ne cachent rien   et qu'ils s'exposent aux  voleurs de nostalgie, aux pilleurs d'épaves, dans un jeu de  vérité ou du mensonge, dans un  jeu de l'amour ou du hasard.

Le chemin pris ne se rebrousse guère, ta voix se ponctue aux intuitions des pas sur la ligne de ta reconnaissance, dans les échos singuliers des émotions diffuses.

C'est parce qu'ils ne cachent rien que tes épanchements s'accrochent à ses notes sur des partitions raturées  de tous malentendus à la dépendance.

Commentaires

  • Il est des échos qui convolent en silence. Tel tu qui se croyait tendre ? (Simple figure de style ;-))

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