Tes mots cristallisent ses nébuleuses sous la plume de tes inspirations, preuve qu'ils ne cachent rien et qu'ils s'exposent aux voleurs de nostalgie, aux pilleurs d'épaves, dans un jeu de vérité ou du mensonge, dans un jeu de l'amour ou du hasard.
Le chemin pris ne se rebrousse guère, ta voix se ponctue aux intuitions des pas sur la ligne de ta reconnaissance, dans les échos singuliers des émotions diffuses.
C'est parce qu'ils ne cachent rien que tes épanchements s'accrochent à ses notes sur des partitions raturées de tous malentendus à la dépendance.
Commentaires
Il est des échos qui convolent en silence. Tel tu qui se croyait tendre ? (Simple figure de style ;-))