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DSC01590.JPGLa littérature nous aide-t-elle à en savoir davantage sur le monde, sur nous-mêmes, sur la condition humaine ?

Ecrire est-ce, être juge de ce que l'on est ?

Commentaires

  • La littérature nous parle sans doute d'une réciprocité d'effets entre les objets ou sujets évoqués, et entre chacun d'eux et elle-même. Un tel processus est-il savoir ? Je ne sais ;-)

    "Ecrire est-ce être juge de ce qu'on est ?" La question me semble trop vague ... Disons que oui si on écrit sa propre biographie (en tant que personne) sous couvert d'un ... personnage à découvrir.

  • N'est-ce pas plutôt avec l'instinct religieux originel que l'homme veut renouer par l'écriture et la lecture en en explorant les cavernes isolés et en découvrant entre elles de toujours inédits bien que réels passages secrets?

  • "trop vague" d'où l'illustration (-: vague déferlant sur les interrogations.
    Pour simone le jugement ne peut qu'être dernier...(sourire) d'où ses référence à la littérature religieuse.
    Evocation d'un jugement philosophique porté sur les êtres, le monde et peut-être de soi-même à la volée des mots posés, déposés jetés et partagés révélateurs de nos silences, nos incertitudes nos révoltes, nos douceurs.

  • Écrire c'est peut-être procéder non d'un jugement ou d'un savoir, mais d'une réconciliation.

  • ileE réconciliation entre le Etre et le Dire à la barre dans l'ordre symbolique du langage?
    Je plaide pour la vertu humaine à vaincre l'absurde dans le dire à décliner l'instable diffus.(-:
    Je garde en mémoire votre texte "ce qui est triste"... et la chute finale. Merveilleux texte constituant un réel dérisoire devenu consistant par ce que vous lui injectez de poésie par la force des mots.
    Bien à vous

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