Les mots sont autant de ricochets sur des mares endormies qui raniment les souvenirs des renoncements confondus.
Ils sont les corps effleurés, l'approche naïve des regards aux prémices du réel inventé.
Enfanter les mots mais renoncer à l'orage dévastateur qui s'est abattu sur des peaux de misère, dans le miroir du paraître déraciné ne renvoyant aux yeux du monde que la défaite d'un corps à corps infertile sur le vrai sacrifié.