Ses « je » s'amoncellent dans les replis de l'enfance, dans le tourbillon de ses contradictions, sous ses voiles drapés comme autant de protections sur le berceau de son existence dont elle se pare sans craindre une nudité indécente.
Les mots jetés masquent sa peau nue que l'écriture couvre de douceurs amies qui déferlent sur la toile écran salutaire.