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Etre là ou n'être plus

film de sa vie.jpgC'est de la privation que naît la dépendance.

C'est du paradoxe qu'arbore la tentation.

Se signaler ou se soustraire.

Etre là ou n'être plus.

 Raviver ou éteindre les mémoires  qui vacillent à la lueur des souvenirs fondus.

Ecrire ton nom.

Ecrire ta voix sur les cordes tendues au silence.

Et s'en aller pour libérer le souffle si souvent retenu.

Commentaires

  • Il y a beaucoup et beaucoup de place ici, beaucoup à réfléchir et beaucoup de place pour y trouver ses propres réponses. Le paradoxe d'une privation d'où découle une dépendance, très bon !! Ca me parle, la privation d'un objet nécessaire nourrit la dépendance à un objet de remplacement, jamais suffisant parce que jamais l'objet du besoin réel. Ca fait sens pour toi/vous ?

  • Complexus, chacun ici peut trouver une place à penser, à croire, à écrire et aussi à douter pour se tenir éveiller.
    Un virtuel dans la communication mais l'effleurement des esprits en rencontre dont le réel se soustrait aux mots jetés dans des partages sincères, ô combien salvateurs.
    Bien à vous.

  • "Chacun trouve sa place", c'est ce que je voulais dire (j'espère avoir été compris dans ce sens ! ;)) Suis souvent troublé de combien ce virtuel des liens (la communication me semble d'une certaine manière toujours virtuelle) vient remuer la réalité des chairs, c'est beau !

  • Les mots bousculent, ravivent nos désirs où les soustraient dès qu'ils se jettent pour s'ancrer sur un réel dans une communication virtuelle certes mais bien en prise sur nos petites pierres d'existence. Petites pierres qui sont autant de traces à se dire ou se taire à partager et à offrir... un peu de soi, un peu de l'autre.
    Bien à vous complexus.

  • @complexus impossible de poster un commentaire sur vos lignes.

  • "Ecrire ta voix sur les cordes tendues du silence"
    superbe.

Les commentaires sont fermés.