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apollinaire.jpgTant de combien, tant de quand, tant de points en suspension,  de notes qui sonnent comme des tocsins sur des partitions anonymes pour un regard tourné vers des infinis projectifs  éternisant l'instant muet.

Tant d'empreintes de  ses désespérances combattues par l'esprit à l'assaut qui  éloigne l'errance pour ne pas trébucher pour dissiper les effluves d'un exil silencieux.

Tant de chemins de sable parcourus sur des chemins de traverse pour des murmures évanescents à cette autre masquée qui se couvre du voile substantiel de l'absence.

Tant de mots dressés  dans la toute puissance comme des barricades qui sont autant de détournements  volontaires pour une sublimation maladive de ses impossibles à vivre.

Déferlantes intemporelles dans la fuite d'un réel effondré pour continuer à peindre les impressions d'un autre pressenti.

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