Ta violence est celle que je rentrais
Ta douleur est celle que je taisais
Ta cicatrice est celle que je cachais
Tes fous rire sont ceux que j'étouffais
Ta légèreté est celle que je plombais
Ta liberté est celle que je freinais
Ta force de vivre est celle que je tuais
Ton réel était mon néant
Ton être était mon naître
Condamnée à te faire exister
Condamnée à me faire t'exister.
Commentaires
… Et ta lecture qui condamne à apprécier le mot.