Tronqué et raturé. (Les chants de Maldoror -)
J’ai reçu la vie comme une blessure et j’ai défendu au suicide de guérirEn poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Tronqué et raturé. (Les chants de Maldoror -)
J’ai reçu la vie comme une blessure et j’ai défendu au suicide de guérir
Commentaires
Plus vouloir que pouvoir…
« Cette blessure
Où meurt la mer comme un chagrin de chair
Où va la vie germer dans le désert
Qui fait de sang la blancheur des berceaux
Qui se referme au marbre du tombeau… »
....en mal d'aurore » Qui sont ces maux révélés par vos mots dans un chant de cigales annonçant l'autre à mont?