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La fausse clarté.

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La clarté ne naît pas de ce qu'on imagine le clair, mais de ce qu'on prend conscience de l'obscur disait C.G Jung.

 

Si écrire est une activité extrêmement solitaire, lire l'est tout autant.

Aussi, au fil des lectures, des mots s'accrochent à l'esprit dans cet infini créateur.

Des mots  qui  suscitent les images, les décors imprégnés de musicalité éclairant le temps d'une touche impressionniste.

Un temps qui semble s'éclaircir que pour mieux comprendre cet obscur qui brille ou s'éteint dans des élans incontrôlés et sans raison.

Chaque mot dévoile un désordre gardé secret ou dévoilé avec plus ou moins de décence dans le sens qu'on croît lui donner.

- plus ou moins d'élégance, plus ou moins d'inspiration à recréer l'illusoire dans un geste fébrile de la main.

Ecrire et communiquer dans cet espace solitaire.

Couverture du livre renfermant les mots que l'on referme pour arrêter l'histoire

Couverture charnelle intemporelle, abandonnée, soustraite mais qui ne manque pas de se rappeler à l'esprit comme une mauvaise rencontre, un rendez-vous obscur qu'on ne peut éclaircir.

Le scaphandre et le papillon.

Le pouvoir des mots- le pouvoir de l'âme dans un combat avec cet autre, écorce vitale vécue comme dérisoire et qui encombre.

Mauvaise rencontre voilée qu'on déclenche ou qu'on subit comme des rendez-vous à la vie où à la mort comme un ultime geste d'espoir à communiquer.

 

 

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