Inspiration bafouée. Cris étouffés.
Ecriture désarmée, refus d'un réel crié.
Les mots, armes dérisoires dont on puise la force pour construire des châteaux de sable et s'inventer des meilleurs à savourer hors du temps.
Perdre pour un instant la révolte suscitée et se laisser bercer par des utopies sans chimère.
Rappeler Appolinaire ou Duras dans une quête illusoire ô combien bienfaitrice et tuer les images violentes venues d'une réalité qui se crie à grands cris.
Liberté
J'écris ton nom...... d'une plume dérobée pour des cris etouffés.